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Comme le précédent (/4) cet épisode s’appuie très librement sur l’article « les harpes de Thalès » que j’ai publié sur le site « Images des mathématiques (CNRS) » : une approche géométrique des nombres. Très librement parce qu’ici je n’écris pas des maths, je les raconte… comme je les aime 😊. Et comme je voudrais les partager avec vous. Mais bien sûr, fondamentalement ce sont les mêmes maths !
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Vous vous rappelez le robot-arpenteur de l’épisode précédent (/4 Et si les nombres n’étaient que des noms ? 🙄) ? Le lointain cousin de l’allumeur de réverbères du Petit Prince qui, comme lui, allume sans se poser de questions, parce que c’est la consigne. Sauf que lui, bien sûr, il n’allume et n’éteint pas constamment le même réverbère (jour, nuit… jour, nuit…), il passe son éternité à allumer des points différents d’une même droite.
Des points que j’ai appelés « points-entiers ».
Ah non, ne commencez pas à chicaner, nous savons très bien, vous et moi, qu’on ne peut pas allumer un point. Parce qu’un point, ce n’est qu’un endroit : l’arpenteur, « allume » un point en lui introduisant un objet ponctuel brillant.
(Je suis peut-être un peu grognon ces temps-ci, ça doit être l’âge… alors excusez-moi si je m’énerve à tort : peut-être n’avez-vous vraiment pas lu l’épisode 4. En ce cas, s’il vous plaît, lisez-le : cet épisode en est la suite !)
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[ Mais peut-être prenez-vous le train en route ? Si vous avez raté les stations précédentes, retrouvez ici le début du voyage 🙂 ]
Merci de votre fidélité et peut-être à bientôt ?
Philippe Colliard Qui je suis